Théâtre de la Bastille

Saison 17/18

Dire que nous avons influencé le positionnement politique du Théâtre de la Bastille serait clairement grossier. Cet acteur incontournable du spectacle vivant depuis 30 ans ne nous a pas attendus pour savoir quoi dire et quoi défendre.

Dèmos Dans un contexte de montée des populismes, Jean-Marie Hordé replace brillamment la vocation du théâtre dans son rôle hautement démocratique :
« (…) il ne cède pas sur la réelle fragmentation des regards. L’Art est cette force d’éveil qui sait brusquer le moment ».

Fragmentation Un soulèvement. Une fragmentation. Voilà de quoi faire propos avec ce que l’on montre des œuvres présentées conjointement au sein de la nouvelle saison du Théâtre de la Bastille. Affiches lacérées, superposées, mots fragmentés, ciselés, les éléments graphiques se déchaînent pour exprimer l’urgence d’un regard laissant la place à l’interprétation et les contradictions qu’elle soulève. « Le peuple du populisme n’est pas le dèmos de démocratie, celui qui débat de ses désaccords » poursuit Jean-Marie Hordé. Tellement juste que ça donnerait presque envie d’appeler son fils Jean-Marie. Ou pas.

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