Depuis plusieurs années, l’Atelier réalise l’ensemble de la communication print de l’OPRL. L’élément central de celle-ci réside dans les objets choisis pour illustrer les concerts ou événements de l’orchestre. Notre sélection peut être directe ou détournée, suggérer ou mettre en valeur parfois avec humour ou une touche de second degré la programmation avec des objets du quotidien. Leur mise en scène en photo créé alors l’image qui accompagnera chaque événement de la saison. Le traitement de ces images en bichromie permet un résultat fin, sobre et délicat. Quant au dessin, il n’est pas en reste puisque les concerts du dimanche en famille et ceux de Music Factory sont signés respectivement par Timothy Durand et Clément Charbonnier-Bouet. Pour découvrir la nouvelle saison, c’est ici.

L’Atelier a conçu pour Wenra un document institutionnel en langue anglaise présentant de manière simple et concise l’association. À destination des experts du nucléaire et des parties prenantes de WENRA, cette publication sera remise principalement lors de réunions de travail avec ses parties prenantes et lors d’événements internationaux (colloques, séminaires, salons, etc.). Pour représenter WENRA, nous avons donc créé un système graphique symbolique, exprimant le rayonnement, la maîtrise et la synergie. Cette forme a une double vocation : esthétique et fonctionnelle. Un cahier de 12 pages a été préconisé, plus petit qu’un A4, pour en faciliter la consultation. Enfin, les ingrédients typographiques ont été davantage qualifiés pour construire une identité plus singulière et fonctionnelle et apporter une réelle professionnalisation de l’image de marque de WENRA.

Le dossier central revient sur les odeurs, qu’elles soient intimes ou infiniment lointaines, étroitement liées à notre environnement. Quelle est la dimension olfactive de l’espace qui nous entoure ?

Ainsi, dans ce numéro, vous trouverez notamment ces articles : Dématérialiser les odeurs, mission impossible ? À l’heure du tout numérique, les chercheurs s’activent ; Architectures : Nos narines nous aident à appréhender notre cadre de vie ; Houston, je sens quelque chose : L’infini qui nous entoure inspire parfumeurs et artistes.

Depuis 2014, l’Atelier réalise la communication du théâtre. Les visuels des spectacles sont le socle de l’identité de la saison. Ils sont au centre des débats lors de leur présentation et toujours choisis avec soin par l’équipe du théâtre. On pourrait penser que l’exercice est répétitif chaque année, ce n’est pourtant pas le cas ! Le trait du dessin, l’angle choisi pour raconter la saison ou le choix d’un logiciel pour créer les images, tous ces éléments permettent de caractériser et de rendre chaque saison unique, tout en conservant un fil directeur d’année en année. Premier spectacle de la saison 22/23: Coriolan de François Orsoni, du 12/09 au 07/10.

Des sujets traités en profondeur, à la lumière des travaux des chercheurs. La dernière page propose de confronter un dicton agricole ancestral avec la réalité d’aujourd’hui… intéressant ! La forme n’est pas en reste, avec outre sa couverture texturée, un portfolio étonnant en ouverture, et des infographies fort bien léchées : Lou Rihn et Jéremy Perrodeau étaient de la partie. Mention spéciale pour l’infographie de Jéremy sur le microbiote, avec toutes ces bactéries et microvillosités intestinales qui se déploient sur une belle double page. Miam.

De 2011 et jusqu’à la fin juin, Robin Renucci en est le directeur. À l’occasion de la fin de son mandat, les Tréteaux de France éditent un ouvrage retraçant les onze années de cette aventure théâtrale.

Ce livre à reliure bodonienne atteste de l’ensemble des actions accomplies et les questionne. Il interroge aussi l’avenir: comment redonner, à tous, le goût de la langue, de l’échange ? Comment continuer à aller à la rencontre du public ?

Pour acheter le livre, c’est ici. Pour plus d’informations, contactez Héloïse Tardif.

Clément Charbonnier-Bouet, DA, Romain Bassenne, photographe et Jean-Charles Bassenne, graphiste, tous à l’Atelier, ont créé la revue Fiasco autour des projets qui ont tourné au vinaigre, été mis de côté, oubliés, avortés, rejetés… en abordant un sujet par numéro. Le premier revient sur le monorail de l’aérotrain, véritable ode à l’échec, ouvrage architectural quasi indestructible qui devient l’ »Arche du fiasco ». La soirée de lancement est prévue ce soir à partir de 19h au bar à Bulles, 4 bis Cité Véron, à Paris. Venez trinquer et acheter votre 1er Fiasco !
Le 2 juin prochain sera inaugurée l’exposition Mode et parfums à l’Institut français de Phnom Penh. En partenariat avec Nez, le mouvement culturel olfactif et le Cirva (Centre international de recherche sur le verre) de Marseille. On vous dit tout plus en détail en juin.