L’objectif est simple : mettre en scène l’ensemble des collaborateurs et surprendre les heureux destinataires. Leurs locaux rutilants, qu’ils viennent de sacrément rafraîchir à grands coups de moquette moelleuse, fresque murale arty ou encore cabine acoustique dernier cri ne demandent pas moins qu’à être valorisés. Romain Bassenne s’en donne à cœur joie au travers de mises en scène loufoques et badines, qui démontrent qu’on peut être des spécialistes d’un sujet sans être des professionnels du métier. De quoi faire marrer tous les mois de l’année, même les moins jolis.

Sans déconstruire la charte graphique existante, nous nous sommes appliqués à en augmenter les possibilités, de la typographie aux finitions imprimées. Une gamme complète de supports cohérents et harmonisés a émergé, un nuancier d’avenirs possibles pour les futurs architectes normands. Cette solide structure, aussi fonctionnelle qu’esthétique, n’attend désormais qu’à exprimer ses capacités de déploiement. Signalétique ? Site web ? Réseaux sociaux ? Motion Design ?

À bon entendeur !

Le festival Essonne Danse, qui souffle sa 23^e bougie cette année, va une fois de plus nous régaler, avec sa trentaine de spectacles programmés dans 20 lieux du département. Pour s’y retrouver ? C’est simple, consultez la brochure

pra-typo-pratique qu’on vient de boucler pour le festival, toute de chasses variables, grasses et maigres, pour un effet des plus dansants. Apollinaire, lui, avait déjà tout compris : Vienne la nuit, Essonne l’heure… de danser !

Festival Essonne Danse, du 7 mars au 22 avril 2023

Quel est l’accessoire magique pour réveiller en vous le tourbillon d’un vent de folie ? La boule à facettes, bien sûr ! Et quitte à ne pas faire dans la dentelle, allons-y carrément : ici, la boule, elle tourne, en vrai (c’est pas beau, la vie ?). En parallèle, le CFPTS avait besoin de donner un coup de frais à son logotype. Alors, armés de nos meilleurs crayons, nous avons proposé une nouvelle variation typographique et quelques ajustements colorés. La piste de l’an 2023 est désormais ouverte !

Ce format sensible permet de faire résonner des récits à la première personne, des histoires incarnées passées sous les radars des grands médias. Un format sur mesure, donc, pour faire entendre les voix de l’hôpital. Dans la continuité de la série Les essentiels, qui met en lumière 6 métiers méconnus de la fonction publique hospitalière, et Les éclaireurs, dans laquelle 5 penseurs s’emparent de thématiques clés pour le présent et l’avenir de la FPH, la troisième série Les incontournables sort ce mois-ci. Cinq métiers en tension – infirmière de bloc, cadre de santé, électricien… – sont mis en lumière afin de mieux appréhender leurs enjeux et leurs attraits.

Le site internet dédié à ces séries, signé par notre pôle digital Travers Média, met en scène les images de Raphaëlle Macaron.

Pour les immortaliser, le photographe a roulé sa bosse et sa Volvo de la Beauce à la Meuse, en passant par la Slovénie.

La Zone, c’est celle de la poignée de villages meusiens qui se sont vus rayés de la carte après la bataille de Verdun et déclarés ensuite « impropres au retour de la population ». Neuf villages au total qui demeurent aujourd’hui encore morts pour la France.

La Ligne, c’est celle du projet avorté de l’Aérotrain, imaginé dans les années 1960 par l’ingénieur visionnaire Jean Bertin, et dont l’un des seuls témoignages visibles aujourd’hui sont les 18 km de monorail de béton qui traversent la Beauce. Un projet fou qui a fait l’objet du premier numéro de la revue Fiasco, portée par quelques camarades de chez Marge Design.

Le Point est celui du mont Triglav, en Slovénie, qui a été le théâtre de nombreuses révoltes avant de symboliser l’indépendance du pays. Son sommet abrite la tour d’Aljaž, une drôle de construction cylindrique métallique qui sert de refuge en cas de tempête et a été proclamée site d’importance culturelle nationale.

ZONE LIGNE POINT jusqu’au 2 mars à l’agence 360, 44 rue Gassendi, 75014 Paris